Au clair de la lune... Cheryl
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Comité poulpien : qui se cache derrière ?

Mise à jour :
7 juin 1998
Cheryl




La photo de cheryl
>Cheryl a 32 ans. Elle a un petit salon (Cheryl-Coiffure), rue Popincourt. Cheryl aime le rose et les peluches et sa prédilection pour les kangourous dénote un attachement à une jeunesse heureuse passée dans le 11ème arrondissement.
Cheryl aime l'élégance et la distinction.
Son corps formidable fait bien des envieuses et sa blondeur naturelle charme en permanence le quartier qui l'a vue grandir.

Cheryl est suffisamment cultivée pour rabattre le caquet de ses contradicteurs, surtout quand elle se laisse aller à un langage de charretier appris sur le tas.
Cheryl la pulpeuse aime d'amour Gabriel, son Poulpe à qui elle n'ose pas demander de rester quand il part vers ses mystérieuses aventures. Mais comme elle est loin d'être une potiche, elle va, peu à peu, devenir la rivale de son amant, marcher sur ses brisées et parfois lui souffler la vedette.





Ne manquez surtout pas le courrier du cœur de Cheryl !!!

De son vrai nom : Huguette Morisset. (31)

Description physique : 1,77 m pour 57 kg. (27)

Gabriel la connaissait depuis l'école primaire de la rue Saint-Bernard, la jolie Cheryl, et peu à peu ils étaient devenus amants réguliers et intermittents. (1)

Il faut bien reconnaître que les relations du Poulpe et de sa Cheryl nous laissent quelque peu perplexes.
Avec un peu de recul, Cheryl est incontestablement la sardine préférée du Poulpe, elle est sa poupée, son clair de lune à Maubeuge.
Il devait bien reconnaître que Cheryl était la femme de sa vie puisque c'était toujours vers elle qu'il revenait inlassablement, à l'image d'une bouteille qui s'amuse à l'envi avec des vagues de rencontre mais revient toujours sur la plage malgré le ressac. (40)

Y en a qui vous mettent le feu au string et d'autres dans le ciboulot. Seul Gabriel savait remplir les deux fonctions à la fois. (74)

Dans certains épisodes, cependant, le couple se montre beaucoup plus détaché des convenances "petites bourgeoises"...

Le contrat de base restait inchangé : de l'amitié, du sexe, mais pas d'amour. (4)

Quelquefois, il se demandait s'il ne devrait pas se mettre en ménage avec un tel volcan. Mais Cheryl ne voulait pas. Elle voulait garder sa liberté, voulait profiter d'être femme, avait d'autres amants, avec lesquels elle avouait moins se marrer qu'avec Gabriel, mais elle y tenait. Ce n'est pas en visitant un seul pays qu'on connaît le monde, elle disait. Le mariage, ça serait comme une retraite, à 60 piges, pas avant. (1)

Il n'a jamais eu les clefs de chez Cheryl. Principe et liberté, pain et jalousie, Moët & Chandon, Roux et Combalusier. Ou quelque chose comme ça, une relation légère comme des bulles qui montent et qui descendent. Et qui tient la distance années après années depuis leur première rencontre sur les bancs de l'école. (9)

Au fil des années et des auteurs, tout change  :
Il fallait croire que ce vieux contrat qu'ils avaient passé, Cheryl et lui, au sujet de leur liberté mutuelle et tout ça, ce contrat tombait petit à petit en désuétude. " Non, pas un fil de soie, juste une bague au doigt. " Peut-être vieilliraient-ils ensemble, après tout. Et le Poulpe ne songeait déjà plus à renâcler à cette perspective. Car s'ils avaient vécu jusque-là leur liaison sur courant alternatif, les derniers mois avaient marqué un net retour en verve de Cheryl : gueularde, attentionnée, jalouse comme une épouse. (105)

Mais si Cheryl se conçoit une rivale menaçante, c'est bien la vieille carcasse de Polikarpov que le Poulpe tente de réparer à ses heures perdues et pendant les autres aussi.
Tes aventures, ça passe, mais ton coucou, c'est la vieille liaison qui s'accroche, et des fois, ça casse! (41)

Si on suivait bien Cheryl, Gabriel ne savait que parler de son zinc, un vieux tas de ferraille rouillé des années trente, une carcasse d'avion qui ne volerait jamais, pas plus qu'un jour ils ne partiraient ensemble à La Réunion. Ils n'allaient jamais au théâtre ni au cinéma, il ne s'intéressait pas au salon ni ne l'aidait pour stopper la tentative du propriétaire du local d'à côté pour la virer. Il ne voulait jamais dîner avec Camille Albane et n'avait aucun avis sur les salons de coiffure franchisés.
- Rien Gabriel, tu ne fais rien pour moi et encore moins quand on baise.
Gabriel aurait bien tenté le jet d'encre et la fuite rétro pour disparaître dans les innombrables peluches et se transformer en pieuvre acrylique et lavable.
(31)

Paradoxalement, elle désire prendre des cours de pilotage pour, le jour venu esbaudir son Céphalopode volant. (84)

Parfois, ce couple parisien affronte des périls bien prosaïques qui peuvent laisser penser à certains : "La vie est un roman".
Et soudain, la panne. Sèche, la panne. Sans rappel. L'envie pourtant présente mais le corps à la traîne. Et pour cause, peu avant, Gabriel avait quelque peu forcé sur la Krefeld, une altbier allemande de fermentation haute qui oeuvre plus pour la vessie et le casque à pointe que pour la nouille en folie. Il n'en avait pas fallu plus pour lancer Cheryl dans une longue litanie. Il avait dû encaisser une tonne de doléances, Gabriel. Les piliers des All Black, à côté, question poids, c'étaient rien que des nains de jardin prêts à être lancés. Une profusion d'insultes s'était abattue sur ses étiquettes. Puis Cheryl l'avait viré vers cinq heures du matin en hurlant qu'elle ne voulait plus jamais le voir. Qu'il était bon pour la casse. Qu'elle n'aurait jamais dû s'acoquiner avec un zonard pareil. Qu'elle gâchait sa belle jeunesse et son corps de sirène pour un mou du gland (...) (15)

Cheryl possède bien évidemment les arguments pour accrocher les tentacules de son amant gluant :
Sous ses vêtements un peu clinquants et parfois d'un parfait mauvais goût, Cheryl cachait un corps de déesse nerveux, aguerri, et leurs jeux érotiques s'apparentaient parfois à un match de catch à quatre, les grands bras gauches de Gabriel ne lui étant pas vraiment suffisants dans les grandes occases. (1)

En plus, depuis peu, une coccinelle sur l'intérieur de sa cuisse gauche :
Si vous m'aidez à le retrouver, je vous demanderai de me tatouer une coccinelle sur la rivière parisienne. (74) Cheryl croisa nerveusement sa chemise ouverte sur un débardeur échancré, ses seins nus sous le coton noir. Elle se demandait si elle n'en avait pas un peu rajouté dans la provocation vestimentaire avec son jeans moulant effiloché aux genoux et ses mules à talons aiguilles. (28)

Toujours perchée sur des pompes d'équilibristes, c'est un défilé à elle toute seule. Elle se fout du qu'en-dira-t-on. Gabriel a renoncé à la juger depuis longtemps. Depuis qu'ils se sont mutuellement dépucelés, en fait. A quinze ans pour elle, dix-huit pour lui. Ils sont complémentaires et ça dure depuis une quinzaine d'années déjà. Entre eux, c'est chimique. Il aime presque tout chez elle - il n'y a que ses coupes de cheveux qui le défrisent - et son peu de goût pour l'art culinaire. (71)

"J'aime les surprises sexy, et Cheryl le sait, trop bien même. Elle me connaît, mes goûts, mes désirs de dingueries. Et -chance, hasard, ou bien une évidence  ?- mes fantaisies sont les siennes. C'est peut-être, et même sûrement, pour cette (bonne) raison que nous restons ensemble et que Cheryl m'accueille chez elle, sans discontinuer, depuis tout ce temps. Notre entente sexuelle nous mène loin, elle est sans faille -nous fêterons bientôt l'anniversaire de nos vingt ans d'amour physique-, et sans... limites. (...). La concupiscence est à Cheryl ce que le crampon est à la chaussure du footballeur, indissociable." (59)

Quand Cheryl s'asseyait sur ses genoux pour lui égaliser les franges, en privé, la créature prenait le pas sur l'ouvrière, et ça se terminait très vite sur le couvre-lit rose, au milieu des kangourous en peluche, elle était obligée de s'y reprendre à plusieurs fois, et on y passait la nuit. (12)

Au passage, on nous signale que l'aménagement de l'appartement de Cheryl a des conséquences fâcheuses pour la vie sexuelle des deux tourtereaux (eh oui!)
Non seulement la présence d'une multitude de peluches...
Il a jamais su si c'était le lurex des nombreuses peluches assistant à leurs ébats, ou la fourrure du couvre-lit en synthétique rose, mais ses orgasmes sont invariablement entrecoupés d'éternuement magistraux. (71)

... mais aussi le waterbed circulaire qui "colle la gerbe" à Gabriel. (102)

Cheryl entretenait son inspiration érotique et la réputation de son établissement en furetant dans les rayonnages d'un bouquiniste de la rue de Charonne. Elle venait d'ailleurs de dénicher un trésor capable de débrider les culottes les plus chics: Chinoiseries, gourmandises orientales et autres japonaiseries. Une anthologie d'avant-guerre qui réunissait des extraits du Tao, du Kamasutra, et de la Flûte de jade. Elle avait espéré profiter de ses vacances avec Gabriel pour expérimenter ces principes millénaires de gymnastique horizontale... (41)

Mais un doute persiste : est-ce une vraie blonde ? Quand Sylvie Granotier relate qu'il la détaillait des orteils pleins de terre à la racine noire de ses cheveux platine.", est-ce pour brouiller les pistes ou nous dévoiler l'effroyable vérité"160;: Cheryl serait la Princesse Alexandra de SAS déguisée en shampouineuse ? (28)

... et le plus important : la beauté intérieure...
Crusonnier venait de s'introduire au forcing dans le cœur de Cheryl qui possédait une entrée large mais pas de sortie. (28)

Les meufs qui carburent à l'humour, ça court pas les coursives. (28)

La seule femme de sa galaxie capable de rester chic en tchatchant vulgaire (12)

...Cheryl la blonde au corps de vie, au corps d'envie. Cheryl, sa compagne à la mode Brassens " J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main ", toujours élégante, même si elle était capable de déraper du langage, version Pigalle (le groupe), toujours attentive, comme toutes les vraies amantes.(93)

Ses valeurs sont, sans grande surprise, rabelaisiennes en diable:
Le retour aux vraies, celles de la nature, ça finissait par tourner famille-patrie, tu baiseras seulement pour enfanter dans la douleur... au secours ! La santé comme au temps d'Adam et Eve, pas fumer, pas boire, manger sain, sans toxines, ni pesticides, loin des gaz d'échappement pour obtenir l'immortalité d'un dieu qui comptait conservateurs et colorants comme autant de péchés ! Merci ! Ca donnait envie à Cheryl de baffrer des frites. Pécher est un acte naturel et les intégristes ne savent pas ce qu'ils perdent : beaucoup de péchés méritent vraiment d'être vécus ! (41)

On en apprend de jolies (pourvu qu'elles soient douces !), au détour d'une page :
Dort comme à son habitude fesses en l'air dans son cocon de draps roses. (9)
Sa toison blonde soigneusement épilée dessinait un cœur. (31)

Les déguisements de Cheryl

  • Créature étrange, moitié femme moitié ange avec de gros seins, brune comme une omelette aux truffes et maquillée comme des actrices des productions AB, myope comme une clef anglaise. (11)
  • Brunette coiffée à la garçonne et vêtue d'une salopette blanche. (41)
  • Longue chevelure flamboyante et bouclée retenue par un bandana turquoise, petit haut en patchwork et longue jupe à fleurs, c'était une jolie rousse à la peau de lait, le nez postillonné de taches de son. (41)
  • Perruque châtain et des lunettes à monture ronde en métal (74)
  • Vêtue d'un tailleur bleu nuit et d'un imper anthracite, le plus neutre de sa garde-robe. Elle était néanmoins terriblement chic pour Goret et ne passa pas inaperçue. (79)
  • Habillée en jeune fille, robe vichy à hauteur des genoux, décolleté sage, en pointe sèche, mocassins, elle allait à la mort comme au premier amour. (79)

Mais qu'on ne s'y trompe, y'a pas que ça !
Elle était intelligente, et parfois sa culture générale épatait Gabriel qui se demandait comment elle pouvait savoir tout ça en ne lisant que les hebdos à la con qu'elle recevait gratis pour son salon de coiffure. (1)

Cheryl, en réalité, ne discernait pas l'ombre d'un plan dans aucune de ses cellules grises. Elle n'avait pas de cervelle d'oiseau, juste la conviction que, qui n'avance pas recule, et que, quand il fallait y aller, fallait y aller. Voilà, elle était allante. (28)

Les identités de Cheryl

  • Marylin Popincourt, professeur d'art dramatique à Paris. (41)
  • Journaliste de l'Express enquêtant sur la violence en général et les faits divers en particulier. (41)
  • Journaliste d'investigation pour l'Evénement (41)
  • Elsa Lecouvreur (41)
  • Michèle Préfaire (74)
  • Cousine de Gabriel (74)
  • Eglantine Durand (79)

Les lectures de Cheryl

  • Chinoiseries, gourmandises orientales et autres japonaiseries
    "... Lorsque sa voix devient rauque comme si sa gorge était sèche, son désir s'est accru. Elle a les yeux clos, sa langue est visible et on peut l'entendre haleter. A ce moment, la tige de jade de l'homme peut se mouvoir librement, leur communion s'oriente vers l'extase. La perle rouge de la femme se fait glissante. A chaque mouvement de la tige de jade, ruissellent ses fluides. L'homme touche légèrement la vallée de la "dent de la châtaigne d'eau". Quand ses lotus dorés se soulèvent de façon à enserrer l'homme, l'homme peut alors porter ses coups dans la vallée de la chambre profonde"(41)
  • Richard III et Roméo et Juliette de Shakespeare (28)
  • Derrières Nouvelles de l'homme d'Alexandre Vialatte. "Le plaisir d'obéir pousse l'homme à faire des rois et le plaisir de changer, à leur couper la tête."
    (74)
  • Biographies de Marylin Monroe (92)
  • La vie aventureuse de Tina Modotti (102)
  • et malgré les apparences Le Monde diplomatique, elle l'achète pour les mots croisés, avait-elle grincé à l'adresse de Gabriel, qui la félicitait pour ses bonnes lectures (54)

Elle peut aussi se révéler une redoutable maîtresse de maison...
Son appart, chapeautant le salon, est aussi précisément rangé et décoré qu'une chambre de poupée Barbie :
douze murs décorés de ses photos préférées d'Elsa Martinelli, Michèle Pfeiffer et Marylin Monroe, trois pièces à dominante rose, à texture synthétique, et habitées par un nombre incroyable de peluches. (1)

... Mais une piètre cuisinière :
- " Putain Cheryl, tu fais très bien les oeufs brouillés. Pourquoi chercher la difficulté ?
- Parce qu'il est beau de tenter des choses impossibles ".
(28)

Après avoir (...) tenté de venir à bout d'un soufflé au roquefort aplati et brûlé que Cheryl, distraite à moins, avait oublié pendant "explosante fixe" (le nom de la figure de lutte gréco-romaine expérimentée) puis s'être rabattu sur une platée de lasagnes, Gabriel s'en fut à la Gare de Lyon.(43)

Mais elle a des excuses :
Elle avait assez vu sa mère se faire exploiter par son père, pour laver ne serait-ce qu'une feuille de laitue. Quand elle va au marché, c'est pour acheter des fruits, un poulet cuit ou des mini-boîtes inutiles qu'elle dispatche dans toutes les pièces de sa caverne d'Ali-Babette. (...)Va pour Allô pizza. Elle raffole des japonais, aussi. Les poissons crus lui donnent des idées perverses. Dès quelle les a en bouche, elle fait des trucs impassables au porno de Canal Plus. (71)

C'est peut-être pour çà qu'elle s'est rabattu sur les produits industriels : Le type qui fabrique le Nutella ne sait pas que Cheryl plonge tous les matins ses mains dans le bocal et en lèche une pleine poignée. (103)

Il semblerait qu'elle ait une passion (passagère?) pour le web. Elle est quand même beaucoup plus forte que Gabriel côté technique (parole de Trottinette!!!) :
Cheryl s'est connectée au Web (...) pour correspondre avec les membres d'un club de collectionneuses de poupées Barbie d'un genre particulier : le BL0 (Barbie Liberation Organization). Leur jeu, c'est de trafiquer les poupées parlantes, en changeant le texte enregistré, puis de les refourguer dans le commerce avec des propos dénaturés... Ca va du comico-salace au discours carrément anti-ricain ou anti-phallocrate. (71)

Pas si passagère que çà, la preuve :
Elle s'est acheté un ordinateur et prétend que c'est utile. Elle veut me montrer qu'Internet peut être bénéfique. Moi, je déteste toutes ces machines et tous les ploucs qui font mumuse devant les écrans plutôt que de venir boire une bonne bière dans un bistrot et causer avec un patron lobotomisé et affriandé par des phasmes plus ou moins à tiare. (103)

Petite, Cheryl passait ses vacances à Valréas, chez Marthe et Robert, boulangers-patissiers. (41)

Ses parents passent une retraite paisible à Saint-Bonnet du Gard. (41)

Super révélation: Cheryl n'a aucun sens de l'orientation (comme un des membres éminents du Comité poulpien !)
C'était une de ses tares : elle n'avait aucun sens de l'orientation. A Paris, quand elle sortait du métro, elle prenait la rue ou le boulevard systématiquement dans le mauvais sens, et, quand elle essayait de faire le contraire de ce que sa foireuse intuition lui dictait, elle se gourait quand même, ça la rendait chèvre ! (41)

Sa voiture : une Peugeot, toute d'ailes et de bosses orangées avec des camaïeux de rouille (presque comme Colombo).
Son réfrigérateur : embarrassé de mèches blondes trempant dans des bols de mixtures glauques. Des flacons de décoction d'herbes, d'eau oxygénée, d'extraits de karité garnissait les étagères (31).

Pour plus de détails sur le "comment c'est chez elle ?", en voici quelques autres :
Il grimpa jusqu'à l'appartement, on devrait dire une boîte à bonbon ou une maison de poupée, tant le foisonnement de rose tendre et de fanfreluches semblait l'œuvre d'un Donald Cardwell sous acide. En fait, la nunucherie au deuxième degré de Cheryl atteignait à une certaine perfection esthétique ; sa garçonnière hollywoodienne méritait de figurer dans toute anthologie du mauvais goût à la rubrique "trop c'est trop". (105)

 La baignoire ronde que Cheryl avait fait construire à ses mesures au cœur de sa bonbonnière. Un ancien tagueur reconverti dans la décoration d'intérieur s'était appliqué à reproduire une scène d'Hiver flamande de Brueghel le Jeune, en remplaçant les hommes par l'animal fétiche de la maîtresse de maison, le kangourou. (7)
Y'a aussi une nappe cinoche à l'effigie de Marylin Monroe. (7)