> Des tas de raisons pour les flics d'éliminer le Poulpe, mais quand il s'agit de raison d'Etat, la fin justifie les moyens et les moyens deviennent illimités : surveillance, chantage, meurtres. Une machine à broyer tous les gêneurs, grains de sable et autres poulpes...Le seul défaut de cette parfaite machine de mort c'est d'avoir oublié que le lundi, c'est sodomie.
Par Romain Goupil
Un titre qui a failli ne pas passer : c'était le seul à ne pas être un jeu de mot !
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Pourquoi "...N'oublie pas que le lundi c'est sodomie... " Rapport d'écoute téléphonique Source : Cheryl Coiffure Correspondant : Gabriel Lecouvreur alias "le Poulpe" REF RG -DM 1761 du 6/1/96 |
Impressions
"Voilà un épisode bien intéressant. Cette fois, le Poulpe n'a rien choisi. C'est lui qu'on essaie de manipuler, d'éliminer. Il est obligé de partir en chasse contre ses agresseurs, pour défendre sa peau, tout simplement. Le fameux groupe "Romero" est à l'œuvre et ses moyens sont puissants. C'est un thème assez classique du polar mais il est ici bien traité. Le roman est habilement construit et sonne vrai. La fin n'est pas naïve non plus puisque malgré l'élimination d'un des membres du groupe (assez réussie), celui-ci est immédiatement remplacé et tout recommencera..."Raymond, Montpellier
"Meutres, suicide, explosions et courses poursuites en plein Paris.
Une aventure aux multiples rebondissements avec de nombreuses
révélations sur les femmes qui entourent Gabriel."
Sylvain, Ennery